1. UNE NOTE AU SUJET DE L’AUTEUR

Walter C. Vetsch est né en 1947 en Louisiane, aux É-U, avec un don qu’il définit lui-mêmecomme étant le « savoir inné ». Plusieurs d’entre nous accumulons, au fil du temps, un niveau desagesse qui ne peut être appris à l’école. Quand nous mourons, cette connaissance se dissout dans laconscience universelle, ce qui fait que quand nous revenons dans une prochaine incarnation, il nousfaut tout recommencer à zéro. Ce ne fut pas le cas de Walter. Dès sa tendre enfance, il sut exactementce qu’était la « réalité », comment elle fonctionnait, et quelles étaient les forces qui la façonnaient.

Intuitivement, il savait que cette connaissance était vraie, mais il en reçut la confirmation quand,à la fin des années soixante, il décida d’exposer ces forces dans un livre et que ces dernières s’yopposèrent violemment. « Il existe un programme fédéral d’école psychiatrique en Amérique », disaitWalter. « Grâce à ce dernier, tout enfant qui possède des habiletés psychiques est dépisté et son cerveauest endommagé avant qu’il puisse réaliser son potentiel. »

On amena Walter dans un de ces hôpitaux psychiatriques. Pendant sept ans, des « médecins »firent de leur mieux (ou de leur pire) pour effacer cette « connaissance innée » de sa mémoire, enutilisant la torture et les drogues. Il y avait d’autres enfants comme lui dans cet hôpital. Tous moururentdes conséquences de ces « traitements ».

Walter fut le seul survivant. En 1972, il écrivit son premier livre, La théorie du plan . Legouvernement ne se lassa jamais de le poursuivre, tuant ses enfants, stérilisant et détruisant le cerveaude sa conjointe, afin de s’assurer que sa lignée s’arrêterait là. (Consultez le rapport détaillé de 300pages sur le site www.louisianastatehospitals.com.) « Tout ce que j’écris », dit Walter, « est basé surdes connaissances issues de la période précédant ma naissance. C’est ce qui a intéressé les gens quirecherchent ce type d’information, comme celles issues de personnes ayant un savoir inné qui puissedéranger un système au sein duquel la connaissance est contrôlée. »

2. UN EXEMPLE DE DÉVELOPPEMENT

Supposons que vous vivez dans un village dont la seule source d’eau est le puits communal.Malheureusement, ce puits est en voie de s’assécher et vos camarades villageois sont très inquiets. Unjour, vous sortez marcher et vous décidez de grimper une colline que personne n’a jamais grimpéeauparavant. De l’autre côté de cette colline, vous trouvez une source naturelle d’eau pure qui peutfournir bien plus que ce qui correspond aux besoins de votre village.

Examinons maintenant les deux scénarios possibles sur la façon dont vous pourriez exploiter ladécouverte. Nous appellerons le premier scénario « la manière naturelle » et le second scénario, « lamanière états-unienne ».

2.1 La manière naturelle

Dans ce scénario, vous prélevez de l’eau, vous retournez au village, vous appelez tous lesvillageois et vous leur dites : « Notre problème d’eau est résolu ! De l’autre côté de cette colline, il y aune source naturelle avec plus d’eau que ce dont on n’aura jamais besoin et son goût est encoremeilleur que celui de l’eau du vieux puits. Tenez, je vous en ai rapporté. Goûtez-la ! » Tout le mondese réjouit et vous commencez à discuter de plans pour poser des conduites de manière à ce que vousn’ayez pas besoin de grimper la colline pour avoir accès à cette eau. Il s’agit de la « manièrenaturelle ».

2.2 La manière états-unienne

Dans ce scénario, vous prélevez l’eau de la source et vous retournez au village. Vous appelezles villageois et vous leur dites : « Regardez ce que j’ai ici – de l’eau fraîche et pure. Essayez-la. » Ils

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